Oui, on peut s’intéresser qu’à une phase du cycle de vie , la gestion des déchets de production par exemple . Mais ce n’est pas suffisant pour une démarche complète.
Oui, dans la mesure où, à chaque étape du cycle de vie : production, utilisation/usage, recuperation et recyclage , on peut innover vers des options ayant moins d’impact sur l’environnement .
Oui, car outre les impacts sur l’environnement, elle intègre les aspects sociaux (emploi, santé …)
Oui, c’est une méthode qui a fait ses preuves et surtout qui permet de quantifier les impacts.
Non, c’est surtout une approche systémique, globale, et un autre mode de penser le cycle de vie du produit, notamment en terme d’usage ou de recyclabilité.
Oui, à l’évidence, c’est l’optimisation des ressources sur un monde fini qui est moteur de l’éco-conception que de plus en plus d’entreprises adoptent à la création d’un produit.
Oui, les retours d’usage, ou de paramètres de santé, ou de réparation… sont précieux pour le fabricant.
Oui, dès lors qu’on réfléchit en « entrant » et « sortant » sous l’angle de l’éco-système sur toute la durée de vie dans l’intérêt des usagers à court, moyen et long terme .
Oui, l’économie de la fonctionnalité est l’économie d’usage ( un service et non un produit jetable ou usé rapidement ) . Cette réflexion économique apparait lors de l’analyse en cycle de vie et dès lors que le consommateur est demandeur ou informé.
Oui et non : Elles sont complémentaires. La hiérarchisation des solutions est souvent différentes . Il faut alors arbitrer de façon argumentée