Oui, mais il y contribue. L’ancrage territorial est une vision politique de l’aménagement local incluant toutes les forces. Le « circuit court » est la vision économique, où il n’y a qu’un intermédiaire au plus et si possible de proximité.
Oui, c’est la condition de la réussite, si les acteurs coopèrent dans l’intérêt collectif bien compris dans un esprit de transparence et de gouvernance non hiérarchique.
Non, c’est une autre façon de faire émerger de nouvelles idées en partant d’un constat partagé.
Non, il faut y vivre, connaitre l’histoire, les valeurs, les richesses, l’environnement, et le mode de pensée des acteurs économiques locaux.
Oui, mais trop de labels nuisent aux labels … ceux-ci doivent être clairs, transparents, et définis et évalués par un tiers neutre et indépendant.
Oui, il convient de donner à chacun un droit de vote identique (démocratie) et surtout de les motiver à contribuer ou voter.
Non, seule la notion d’appartenance à une communauté d’intérêt territorial (hors religions) est valable. Toutes les mesures favorisant la connaissance du territoire et l’implication des citoyens est favorable à la démarche d’appropriation collective.
Oui, sans oublier les « diasporas » à l’étranger souvent très attachées à leur communauté d’origine territoriale. Et où souvent ils reviennent.
Oui, à l’évidence les communautés de « cœur de territoire » s’organisent sur internet.
Oui, les impôts locaux sont mal perçus par la population car manque de transparence, ou sentiment de gaspillage financier ou de mauvaise priorisation. Le financement volontaire par le citoyen de projets économiques ou à caractère social est une variante de contribution pour le bien public bien mieux accepté.